tag:blogger.com,1999:blog-3633356812417860405.post3198529969484283529..comments2024-02-09T23:51:54.988+01:00Comments on Sniff and Puff: Films vus par moi(s) : avril 2016Tom Peepinghttp://www.blogger.com/profile/10287456988389518571noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-3633356812417860405.post-18950487950491807512016-04-29T04:58:08.325+02:002016-04-29T04:58:08.325+02:00Ah, je ne savais pas que le Herzog était un montag...Ah, je ne savais pas que le Herzog était un montage réduit, merci pour l'info...Franck Merabtihttps://www.blogger.com/profile/03006538442258333603noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3633356812417860405.post-71984348377578586922016-04-18T19:12:09.606+02:002016-04-18T19:12:09.606+02:00Jordan, je n'ai pas vu Enter the Void qui ne m...Jordan, je n'ai pas vu Enter the Void qui ne me tente pas vraiment. J'aime beaucoup Seul contre tous, Carne et Irréversible aussi. Love, en y repensant, me semble creux avec des choix de scènes à rallonge sans intérêt et cette voix off qui sonne faux. C'est dommage parce que la mise en scène (montage, couleurs...) est bien. Ma partie préférée est celle de la presque fin, lors de leur rencontre aux Buttes Chaumont, là c'est très réussi. Tom Peepinghttps://www.blogger.com/profile/10287456988389518571noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3633356812417860405.post-25099955147941944762016-04-17T18:26:08.525+02:002016-04-17T18:26:08.525+02:00Bonjour Tom,
Je suis d'accord avec toi au suj...Bonjour Tom,<br /><br />Je suis d'accord avec toi au sujet de "Love". Ma première grande déception car jusqu'à ce jour, enfin même si j'ai tout de même des réserves sur "Enter the void", j'étais très fan du cinéma de Noé. J'adore "Seul contre tous", "Carné", et "Irréversible" (surtout parce que l'émotion jaillit dans le final grâce à la construction inversée, et puis c'était une séance inoubliable, je l'ai vu le jour de sa sortie en 2002 dans une salle clairsemée, les gens ne supportant pas le film et évacuant la salle en courant au bout de vingt cinq minutes pour me retrouver seul à l'avant avant dernier rang avec deux gamines qui ne devaient pas avoir bcp plus que 18 ans).<br /><br />Le film est construit autour de deux personnages dont l'interprétation m'a agacé. Pas vraiment de symbiose, une voix off qui devient très pénible là où le silence aurait dû s'imposer. Un jeu très limité et au final peu d'émotions. C'est vraiment dommage car en choisissant pourtant de tourner avec des inconnus ou des acteurs non pro (ou en tout cas débutants), il avait tapé très juste et très fort avec ses premiers films : il y avait bcp plus de spontanéité, c'était très écrit -le monologue intérieur du boucher- mais il y avait aussi l'entrain et ce côté génial d'écouter et de voir des gens parler avec leur langue plutôt qu'un texte trop travaillé. Un côté Célinien dans le travail sur la petitesse, l'étroitesse d'esprit, la description d'un petit monde, avec ses souffrances et un final incroyable pour "Seul contre tous"<br /><br />Avec "Love" il joue moins la carte de la provocation et de la violence mais davantage celle du poseur. Et c'est la première fois que je le ressens (la scène de la partouze dans le club échangiste n'a aucun intérêt par exemple, avec que la scène du Love Hotel avait quelque chose de plus physique et sensoriel dans "Enter tHe Void". ). <br /><br />Un essai qui m'a paru bcp plus platonique au final que passionnel, peu d'émotions, un jeu limité mais une belle photo. C'est peu.<br />Jordan Whitehttp://popkotidien.unblog.frnoreply@blogger.com