Hope Emerson (1897-1960)
Son nom ne vous dit sans doute rien mais vous n'avez pas oublié son physique de matrone géante si vous l'avez vue dans les seconds rôles qui étaient sa spécialité. Cry of the city (La Proie, 1948) de Siodmak, Adam's rib (Madame porte la culotte, 1949) de Cukor, Westward the women (Convoi de femmes, 1951) de Wellman et surtout Caged (Femmes en cage, 1950) de Cromwell, où elle terrorise même les criminelles endurcies. Hope Emerson fut l'une des présences les plus fascinantes du cinéma hollywoodien et une silhouette que vous n'auriez pas aimé croiser dans un couloir quand elle était en colère.
Une page internet a été dédiée à Hope Emerson par une de ses arrière-cousines, la très sympathique Sumshee Urszula Kirken, qui a retrouvé un album de famille plein de photos (totalement inédites of course) de Miss Emerson aux âges de sa vie et les a mises en ligne. Ou l'histoire d'une petite fille d'Iowa qui deviendra une géante du second rôle hollywoodien : http://www.sumshee.com/hope-emerson.html . Passionnant.
Une page internet a été dédiée à Hope Emerson par une de ses arrière-cousines, la très sympathique Sumshee Urszula Kirken, qui a retrouvé un album de famille plein de photos (totalement inédites of course) de Miss Emerson aux âges de sa vie et les a mises en ligne. Ou l'histoire d'une petite fille d'Iowa qui deviendra une géante du second rôle hollywoodien : http://www.sumshee.com/hope-emerson.html . Passionnant.
Un vrai pilier dans "Westard the Women"...
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