26 octobre 2009

Heroes of mine : Randolph

Randolph Scott (1898-1987)

Mais surtout le Randolph Scott des environs de la soixantaine, de Seven Men from Now (1956) à son tout dernier film Ride the High Country (1962). Aucun autre acteur n'a réussi à faire passer, dans le genre du western, autant d'assurance et de fragilité mêlées. Aucun.

2 commentaires:

  1. Salut Tom, j'ai le Boetticher sur mes étagères, il faudra que je le regarde un de ces jours, quant au Peckinpah je suis d'accord avec toi. Pour l'assurance et la fragilité je pensais à Lancaster dans "Fureur Apache" mais en écrivant ces mots je m'aperçois qu'il s'agit de désillusion et pas de fragilité. Alors mettons que je n'ai rien écrit...

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  2. Il faut que tu voies le Boetticher (et les autres films que Scott a faits avec lui si tu ne les connais pas encore), c'est surtout en les découvrant il n'y a pas longtemps que Scott est passé, pour moi, du statut d'acteur à celui de héros...

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